Bonjour, mon nom était Mimoso. J’ai été trouvé errant à Québec le lendemain de Noël. Le 26 décembre, pendant que tous fêtaient, je me cherchais désespérément un petit coin au chaud, et surtout un bon repas. Une chère citoyenne m’a offert quelques repas et par la suite a réussi à m’attraper et m’apporter dans une fourrière du coin. Malheureusement, comme personne ne m’a réclamé j’ai été considéré comme leur appartenant. Ils ont tentés avec leurs faibles moyens de me remettre en forme mais en vain. J’avais déjà beaucoup maigri et j’étais dans un piteux état lorsqu’ils m’ont trouvé. Après quelques jours, ils ont voulu bien faire, et me vacciner, ce qui n’a fait qu’empirer ma situation déjà précaire. Mon système combattait déjà une très vilaine grippe ce qui m’a encore plus atterré. Durant 3 jours je faisais tout pour prendre du mieux, mais dans la nuit du 12 au 13 janvier ma situation s’est gravement détériorée. Comme la fin de semaine la fourrière où j’étais n’avait pas de vétérinaire sur place, mon sort en était fini. La personne en charge a décidé de prendre rendez-vous à une clinique vétérinaire et de ne pas me laisser dans cet état plus longtemps. Comme cette fourrière n’a de place que pour 100 chats maximum, ils n’avaient pas les sous ni les ressources pour invertir sur moi. Vers 15h dimanche le 13 janvier, mon rendez-vous était pris et j’attendais sagement la mort. Par un heureux hasard, une certaine Alexandra passait par là. Alexandra est une animalière du Domaine Animal et était justement à Québec puisque son propre chat avait besoin de soins spécialisés. Entendant du coin de l’oreille que le docteur arrivait dans quelque minutes mettre fin à mes jours, Alexandra ne pu s’empêcher de poser plus de questions sur moi. Quoi?! Quelqu’un s’intéresse à moi? C’est certain que lorsqu’elle m’a vu, elle aussi doutait de ma survie puisque de mon état était critique. Je salivais énormément puisque ma bouche était remplie d’ulcères ce qui faisait en sorte que je ne pouvais plus manger et que mon nez et mes yeux coulaient de mucus purulent. C’est donc sur le coin du comptoir vétérinaire qu’Alexandra a demandé de m’adopter pour tenter le tout pour le tout et me donner ma chance. L’employé qui m’avait apporté ébahie accepta volontiers. Enfin quelqu’un pensait à moi. Donc le 13 janvier Alexandra a gentiment troqué mon rendez-vous d’euthanasie pour un rendez-vous de consultation d’urgence. La vétérinaire qui m’a examiné a été drôlement gentille et m’a tout de suite donné quelques injections pour contrôler mes infections et pour me soulager le plus rapidement possible. Plusieurs prescriptions plus tard et quelques centaines de dollars en moins, je repartais dans mon transporteur pour faire 1h30 de route (Québec, Trois-Rivières) vers mon nouveau chez moi. Les filles du Domaine Animal n’ont pas voulu publier mon histoire immédiatement puisque mes chances de survies étaient tellement minces. Mais vous comprenez en lisant ceci que si vous voyez mon histoire c’est que je suis toujours en vie! Plus fort que jamais. Depuis plus de 2 semaines que toute l’équipe se relaie et s’occupe de moi jour et nuit. Je vais vraiment mieux maintenant. Les filles aiment bien me dire que je suis devenu un petit prince ici. Je ne mange toujours pas seul mais dès qu’une des filles m’apporte mon pâté à le seringue je dévore le tout. Même chose pour les croquettes données à la main, je suis un vrai petit glouton. Bref, les filles ont déterminé qu’elles avaient le droit de changer mon nom puisque la fourrière qui me l’avait donné n’a pas pu s’occuper de moi à ma juste valeur. Je me nomme donc maintenait Sir Simon. Je suis un vrai battant et lorsque ma convalescence sera complète je chercherai une famille pour la vie. Je crois que je le mérite bien après tout ce qu’il m’est arrivé! Pour la famille qui m’accueillera, ce sera à la vie à la mort et elle comprendra que d’adopter un animal c’est aussi avoir de grandes responsabilités entre les mains. Merci de partager mon histoire pour que le plus de gens sachent ce que les filles du Domaine Animal ont fait pour moi. Sans elles, je ne serais plus là depuis longtemps. Merci de m'avoir lu. Sir Simon qui attendra patiemment la bonne famille.
Bonjour, mon nom était Mimoso. J’ai été trouvé errant à Québec le lendemain de Noël. Le 26 décembre, pendant que tous fêtaient, je me cherchais désespérément un petit coin au chaud, et surtout un bon repas. Une chère citoyenne m’a offert quelques repas et par la suite a réussi à m’attraper et m’apporter dans une fourrière du coin. Malheureusement, comme personne ne m’a réclamé j’ai été considéré comme leur appartenant. Ils ont tentés avec leurs faibles moyens de me remettre en forme mais en vain. J’avais déjà beaucoup maigri et j’étais dans un piteux état lorsqu’ils m’ont trouvé. Après quelques jours, ils ont voulu bien faire, et me vacciner, ce qui n’a fait qu’empirer ma situation déjà précaire. Mon système combattait déjà une très vilaine grippe ce qui m’a encore plus atterré. Durant 3 jours je faisais tout pour prendre du mieux, mais dans la nuit du 12 au 13 janvier ma situation s’est gravement détériorée. Comme la fin de semaine la fourrière où j’étais n’avait pas de vétérinaire sur place, mon sort en était fini. La personne en charge a décidé de prendre rendez-vous à une clinique vétérinaire et de ne pas me laisser dans cet état plus longtemps. Comme cette fourrière n’a de place que pour 100 chats maximum, ils n’avaient pas les sous ni les ressources pour invertir sur moi. Vers 15h dimanche le 13 janvier, mon rendez-vous était pris et j’attendais sagement la mort. Par un heureux hasard, une certaine Alexandra passait par là. Alexandra est une animalière du Domaine Animal et était justement à Québec puisque son propre chat avait besoin de soins spécialisés. Entendant du coin de l’oreille que le docteur arrivait dans quelque minutes mettre fin à mes jours, Alexandra ne pu s’empêcher de poser plus de questions sur moi. Quoi?! Quelqu’un s’intéresse à moi? C’est certain que lorsqu’elle m’a vu, elle aussi doutait de ma survie puisque de mon état était critique. Je salivais énormément puisque ma bouche était remplie d’ulcères ce qui faisait en sorte que je ne pouvais plus manger et que mon nez et mes yeux coulaient de mucus purulent. C’est donc sur le coin du comptoir vétérinaire qu’Alexandra a demandé de m’adopter pour tenter le tout pour le tout et me donner ma chance. L’employé qui m’avait apporté ébahie accepta volontiers. Enfin quelqu’un pensait à moi. Donc le 13 janvier Alexandra a gentiment troqué mon rendez-vous d’euthanasie pour un rendez-vous de consultation d’urgence. La vétérinaire qui m’a examiné a été drôlement gentille et m’a tout de suite donné quelques injections pour contrôler mes infections et pour me soulager le plus rapidement possible. Plusieurs prescriptions plus tard et quelques centaines de dollars en moins, je repartais dans mon transporteur pour faire 1h30 de route (Québec, Trois-Rivières) vers mon nouveau chez moi. Les filles du Domaine Animal n’ont pas voulu publier mon histoire immédiatement puisque mes chances de survies étaient tellement minces. Mais vous comprenez en lisant ceci que si vous voyez mon histoire c’est que je suis toujours en vie! Plus fort que jamais. Depuis plus de 2 semaines que toute l’équipe se relaie et s’occupe de moi jour et nuit. Je vais vraiment mieux maintenant. Les filles aiment bien me dire que je suis devenu un petit prince ici. Je ne mange toujours pas seul mais dès qu’une des filles m’apporte mon pâté à le seringue je dévore le tout. Même chose pour les croquettes données à la main, je suis un vrai petit glouton. Bref, les filles ont déterminé qu’elles avaient le droit de changer mon nom puisque la fourrière qui me l’avait donné n’a pas pu s’occuper de moi à ma juste valeur. Je me nomme donc maintenait Sir Simon. Je suis un vrai battant et lorsque ma convalescence sera complète je chercherai une famille pour la vie. Je crois que je le mérite bien après tout ce qu’il m’est arrivé! Pour la famille qui m’accueillera, ce sera à la vie à la mort et elle comprendra que d’adopter un animal c’est aussi avoir de grandes responsabilités entre les mains. Merci de partager mon histoire pour que le plus de gens sachent ce que les filles du Domaine Animal ont fait pour moi. Sans elles, je ne serais plus là depuis longtemps. Merci de m'avoir lu. Sir Simon qui attendra patiemment la bonne famille.
Bonjour, mon nom était Mimoso. J’ai été trouvé errant à Québec le lendemain de Noël. Le 26 décembre, pendant que tous fêtaient, je me cherchais désespérément un petit coin au chaud, et surtout un bon repas. Une chère citoyenne m’a offert quelques repas et par la suite a réussi à m’attraper et m’apporter dans une fourrière du coin. Malheureusement, comme personne ne m’a réclamé j’ai été considéré comme leur appartenant. Ils ont tentés avec leurs faibles moyens de me remettre en forme mais en vain. J’avais déjà beaucoup maigri et j’étais dans un piteux état lorsqu’ils m’ont trouvé. Après quelques jours, ils ont voulu bien faire, et me vacciner, ce qui n’a fait qu’empirer ma situation déjà précaire. Mon système combattait déjà une très vilaine grippe ce qui m’a encore plus atterré. Durant 3 jours je faisais tout pour prendre du mieux, mais dans la nuit du 12 au 13 janvier ma situation s’est gravement détériorée. Comme la fin de semaine la fourrière où j’étais n’avait pas de vétérinaire sur place, mon sort en était fini. La personne en charge a décidé de prendre rendez-vous à une clinique vétérinaire et de ne pas me laisser dans cet état plus longtemps. Comme cette fourrière n’a de place que pour 100 chats maximum, ils n’avaient pas les sous ni les ressources pour invertir sur moi. Vers 15h dimanche le 13 janvier, mon rendez-vous était pris et j’attendais sagement la mort. Par un heureux hasard, une certaine Alexandra passait par là. Alexandra est une animalière du Domaine Animal et était justement à Québec puisque son propre chat avait besoin de soins spécialisés. Entendant du coin de l’oreille que le docteur arrivait dans quelque minutes mettre fin à mes jours, Alexandra ne pu s’empêcher de poser plus de questions sur moi. Quoi?! Quelqu’un s’intéresse à moi? C’est certain que lorsqu’elle m’a vu, elle aussi doutait de ma survie puisque de mon état était critique. Je salivais énormément puisque ma bouche était remplie d’ulcères ce qui faisait en sorte que je ne pouvais plus manger et que mon nez et mes yeux coulaient de mucus purulent. C’est donc sur le coin du comptoir vétérinaire qu’Alexandra a demandé de m’adopter pour tenter le tout pour le tout et me donner ma chance. L’employé qui m’avait apporté ébahie accepta volontiers. Enfin quelqu’un pensait à moi. Donc le 13 janvier Alexandra a gentiment troqué mon rendez-vous d’euthanasie pour un rendez-vous de consultation d’urgence. La vétérinaire qui m’a examiné a été drôlement gentille et m’a tout de suite donné quelques injections pour contrôler mes infections et pour me soulager le plus rapidement possible. Plusieurs prescriptions plus tard et quelques centaines de dollars en moins, je repartais dans mon transporteur pour faire 1h30 de route (Québec, Trois-Rivières) vers mon nouveau chez moi. Les filles du Domaine Animal n’ont pas voulu publier mon histoire immédiatement puisque mes chances de survies étaient tellement minces. Mais vous comprenez en lisant ceci que si vous voyez mon histoire c’est que je suis toujours en vie! Plus fort que jamais. Depuis plus de 2 semaines que toute l’équipe se relaie et s’occupe de moi jour et nuit. Je vais vraiment mieux maintenant. Les filles aiment bien me dire que je suis devenu un petit prince ici. Je ne mange toujours pas seul mais dès qu’une des filles m’apporte mon pâté à le seringue je dévore le tout. Même chose pour les croquettes données à la main, je suis un vrai petit glouton. Bref, les filles ont déterminé qu’elles avaient le droit de changer mon nom puisque la fourrière qui me l’avait donné n’a pas pu s’occuper de moi à ma juste valeur. Je me nomme donc maintenait Sir Simon. Je suis un vrai battant et lorsque ma convalescence sera complète je chercherai une famille pour la vie. Je crois que je le mérite bien après tout ce qu’il m’est arrivé! Pour la famille qui m’accueillera, ce sera à la vie à la mort et elle comprendra que d’adopter un animal c’est aussi avoir de grandes responsabilités entre les mains. Merci de partager mon histoire pour que le plus de gens sachent ce que les filles du Domaine Animal ont fait pour moi. Sans elles, je ne serais plus là depuis longtemps. Merci de m'avoir lu. Sir Simon qui attendra patiemment la bonne famille.