Ici, on me propose de la nourriture en conserve, des croquettes, des doudous et une litière propre, mais rien ne sera jamais suffisant pour panser mon cœur qui pleure. Je sens bien que les gens sont de bonne foi ici, mais j’espère qu’un jour, ce périple qui me tourmente aboutira à une fin heureuse.
Elles m’ont nommé Hector, mais pendant longtemps, je me suis reconnu comme « ti-cœur ». J’ai erré pendant plus d’un an sur le terrain d’une gentille demoiselle. Je suis arrivé comme par magie dans son univers alors que je cherchais, balcon après balcon, un petit quelque chose à me mettre sous la canine et une place au chaud pour me protéger des intempéries. Je n’avais jamais connu la vie au grand air. J’ai dû apprendre à la dure, sans mes griffes ni mes hormones… J’étais destiné à une vie de pacha et, comme un cauchemar, je me suis retrouvé dans cette réalité sombre. Je suis devenu invisible, isolé et vulnérable.
J’ai appris à développer mon mode de survie : courir, fuir et craindre. Pendant plus d’un an, la gentille demoiselle qui a attendri mes journées a fait de nombreuses recherches pour trouver ma maison, mais sans succès. Voyant l’hiver approcher, elle a entamé des démarches pour me trouver un endroit au chaud. Personne ne souhaite m’adopter, les refuges débordent et, vu mon physique balafré, mes jours finiraient probablement avec une sédation pour m’endormir à tout jamais, c’est ce qu’on lui a dit. Elle a peur, et moi aussi.
Le Domaine Animal, un refuge sans euthanasie, qui voit au-delà de la peur et de la santé.
Ils sont MA solution.
J’ai donc fait mon arrivée, accompagné de cette demoiselle au grand cœur, un lundi matin. Le refuge du Domaine Animal a découvert que j’étais dégriffé et stérilisé. Suis-je perdu ? Ai-je été abandonné ? Nul ne le saura jamais…
Je suis encore en mode survie, j'ai peur, je veux fuir et rester invisible. Après tout, c’est ce que la nature m’a appris, mais je suis résilient, je réapprendrai ce qu’est l’amour. Ils m’ont donné ma chance, je vais donc tout faire pour leur montrer qu’ils ont eu raison de croire en moi.
Je suis disponible à l’adoption et, bien que les visites soient encore une source de stress pour moi, il me fera plaisir de vous montrer mes beaux yeux pour vous convaincre que je suis, moi aussi, à ma place dans une famille.
Ici, on me propose de la nourriture en conserve, des croquettes, des doudous et une litière propre, mais rien ne sera jamais suffisant pour panser mon cœur qui pleure. Je sens bien que les gens sont de bonne foi ici, mais j’espère qu’un jour, ce périple qui me tourmente aboutira à une fin heureuse.
Elles m’ont nommé Hector, mais pendant longtemps, je me suis reconnu comme « ti-cœur ». J’ai erré pendant plus d’un an sur le terrain d’une gentille demoiselle. Je suis arrivé comme par magie dans son univers alors que je cherchais, balcon après balcon, un petit quelque chose à me mettre sous la canine et une place au chaud pour me protéger des intempéries. Je n’avais jamais connu la vie au grand air. J’ai dû apprendre à la dure, sans mes griffes ni mes hormones… J’étais destiné à une vie de pacha et, comme un cauchemar, je me suis retrouvé dans cette réalité sombre. Je suis devenu invisible, isolé et vulnérable.
J’ai appris à développer mon mode de survie : courir, fuir et craindre. Pendant plus d’un an, la gentille demoiselle qui a attendri mes journées a fait de nombreuses recherches pour trouver ma maison, mais sans succès. Voyant l’hiver approcher, elle a entamé des démarches pour me trouver un endroit au chaud. Personne ne souhaite m’adopter, les refuges débordent et, vu mon physique balafré, mes jours finiraient probablement avec une sédation pour m’endormir à tout jamais, c’est ce qu’on lui a dit. Elle a peur, et moi aussi.
Le Domaine Animal, un refuge sans euthanasie, qui voit au-delà de la peur et de la santé.
Ils sont MA solution.
J’ai donc fait mon arrivée, accompagné de cette demoiselle au grand cœur, un lundi matin. Le refuge du Domaine Animal a découvert que j’étais dégriffé et stérilisé. Suis-je perdu ? Ai-je été abandonné ? Nul ne le saura jamais…
Je suis encore en mode survie, j'ai peur, je veux fuir et rester invisible. Après tout, c’est ce que la nature m’a appris, mais je suis résilient, je réapprendrai ce qu’est l’amour. Ils m’ont donné ma chance, je vais donc tout faire pour leur montrer qu’ils ont eu raison de croire en moi.
Je suis disponible à l’adoption et, bien que les visites soient encore une source de stress pour moi, il me fera plaisir de vous montrer mes beaux yeux pour vous convaincre que je suis, moi aussi, à ma place dans une famille.
Ici, on me propose de la nourriture en conserve, des croquettes, des doudous et une litière propre, mais rien ne sera jamais suffisant pour panser mon cœur qui pleure. Je sens bien que les gens sont de bonne foi ici, mais j’espère qu’un jour, ce périple qui me tourmente aboutira à une fin heureuse.
Elles m’ont nommé Hector, mais pendant longtemps, je me suis reconnu comme « ti-cœur ». J’ai erré pendant plus d’un an sur le terrain d’une gentille demoiselle. Je suis arrivé comme par magie dans son univers alors que je cherchais, balcon après balcon, un petit quelque chose à me mettre sous la canine et une place au chaud pour me protéger des intempéries. Je n’avais jamais connu la vie au grand air. J’ai dû apprendre à la dure, sans mes griffes ni mes hormones… J’étais destiné à une vie de pacha et, comme un cauchemar, je me suis retrouvé dans cette réalité sombre. Je suis devenu invisible, isolé et vulnérable.
J’ai appris à développer mon mode de survie : courir, fuir et craindre. Pendant plus d’un an, la gentille demoiselle qui a attendri mes journées a fait de nombreuses recherches pour trouver ma maison, mais sans succès. Voyant l’hiver approcher, elle a entamé des démarches pour me trouver un endroit au chaud. Personne ne souhaite m’adopter, les refuges débordent et, vu mon physique balafré, mes jours finiraient probablement avec une sédation pour m’endormir à tout jamais, c’est ce qu’on lui a dit. Elle a peur, et moi aussi.
Le Domaine Animal, un refuge sans euthanasie, qui voit au-delà de la peur et de la santé.
Ils sont MA solution.
J’ai donc fait mon arrivée, accompagné de cette demoiselle au grand cœur, un lundi matin. Le refuge du Domaine Animal a découvert que j’étais dégriffé et stérilisé. Suis-je perdu ? Ai-je été abandonné ? Nul ne le saura jamais…
Je suis encore en mode survie, j'ai peur, je veux fuir et rester invisible. Après tout, c’est ce que la nature m’a appris, mais je suis résilient, je réapprendrai ce qu’est l’amour. Ils m’ont donné ma chance, je vais donc tout faire pour leur montrer qu’ils ont eu raison de croire en moi.
Je suis disponible à l’adoption et, bien que les visites soient encore une source de stress pour moi, il me fera plaisir de vous montrer mes beaux yeux pour vous convaincre que je suis, moi aussi, à ma place dans une famille.