Salut,
Moi, c’est Misty. Je suis une sphynx de 10 ans, dégriffée des quatre pattes. Mon nom signifie "brouillard," et comme ma peau de sphynx est dissimulée sous un fin voile de poils, mes matantes du refuge trouvent que mon nom me va à ravir.
Mon arrivée au refuge n’était pas un choix de gaieté de cœur. J’ai été adoptée par une femme alors que j’étais toute petite. Nous avons passé dix belles années ensemble, patte dans la main, à traverser les saisons. Mais les quatre dernières années ont été bien différentes. Un jour, ma maman a appris que sa santé lui faisait défaut. En entendant cette triste nouvelle, je me suis promis de la consoler et de l’accompagner sur ce chemin semé d’embûches qui nous attendait. Avant, elle adorait me prendre dans ses bras pour me cajoler, mais j’ai vite compris, à voir les efforts qu’elle faisait pour ces moments tendres, que je devais inverser les rôles. C’était à mon tour de la soutenir. Je me couchais sur son torse, où, sans trop d’efforts, elle pouvait encore me caresser, et moi, je lui offrais la chaleur de ma peau. Mais un jour, même le simple poids de mon petit corps est devenu trop lourd pour son torse affaibli. Son corps est fragile, mais je sais qu’elle m’aime. Je ressens sa tristesse quand elle me repousse doucement. Alors, je reste près d’elle, je l’observe et je lui offre tout mon amour à travers mon regard doux. Croyez-vous qu’elle le sente ? Pensez-vous que c’est suffisant pour la guérir ?
Quand maman a compris que les traitements à venir rendraient ma simple présence trop lourde à gérer avec sa maladie, elle a dû prendre une décision difficile. Elle devait se libérer de la responsabilité d'avoir un animal.
Un jour, elle a passé un coup de téléphone à notre vétérinaire pour se renseigner sur les euthanasies. Heureusement, les euthanasies de convenance sont de moins en moins pratiquées dans notre région. J’ai eu la chance d’avoir une vétérinaire bienveillante et informée. C’est elle qui a contacté le refuge du Domaine Animal pour aider ma maman à trouver une solution. Parfois, ce n’est pas un manque d’amour, mais un manque d’information qui guide les décisions.
L’environnement du refuge est stressant pour moi. J’espère encore voir ma maman arriver pour qu’on rentre à la maison ensemble. Mais au fond, je sais qu’elle est occupée à combattre la vilaine maladie. Je dois me faire à l’idée… c’est à mon tour de me faire consoler.
Je suis à la recherche d'une nouvelle famille. Un foyer calme et connaissant des besoins des Sphynx sera priorisé.
Salut,
Moi, c’est Misty. Je suis une sphynx de 10 ans, dégriffée des quatre pattes. Mon nom signifie "brouillard," et comme ma peau de sphynx est dissimulée sous un fin voile de poils, mes matantes du refuge trouvent que mon nom me va à ravir.
Mon arrivée au refuge n’était pas un choix de gaieté de cœur. J’ai été adoptée par une femme alors que j’étais toute petite. Nous avons passé dix belles années ensemble, patte dans la main, à traverser les saisons. Mais les quatre dernières années ont été bien différentes. Un jour, ma maman a appris que sa santé lui faisait défaut. En entendant cette triste nouvelle, je me suis promis de la consoler et de l’accompagner sur ce chemin semé d’embûches qui nous attendait. Avant, elle adorait me prendre dans ses bras pour me cajoler, mais j’ai vite compris, à voir les efforts qu’elle faisait pour ces moments tendres, que je devais inverser les rôles. C’était à mon tour de la soutenir. Je me couchais sur son torse, où, sans trop d’efforts, elle pouvait encore me caresser, et moi, je lui offrais la chaleur de ma peau. Mais un jour, même le simple poids de mon petit corps est devenu trop lourd pour son torse affaibli. Son corps est fragile, mais je sais qu’elle m’aime. Je ressens sa tristesse quand elle me repousse doucement. Alors, je reste près d’elle, je l’observe et je lui offre tout mon amour à travers mon regard doux. Croyez-vous qu’elle le sente ? Pensez-vous que c’est suffisant pour la guérir ?
Quand maman a compris que les traitements à venir rendraient ma simple présence trop lourde à gérer avec sa maladie, elle a dû prendre une décision difficile. Elle devait se libérer de la responsabilité d'avoir un animal.
Un jour, elle a passé un coup de téléphone à notre vétérinaire pour se renseigner sur les euthanasies. Heureusement, les euthanasies de convenance sont de moins en moins pratiquées dans notre région. J’ai eu la chance d’avoir une vétérinaire bienveillante et informée. C’est elle qui a contacté le refuge du Domaine Animal pour aider ma maman à trouver une solution. Parfois, ce n’est pas un manque d’amour, mais un manque d’information qui guide les décisions.
L’environnement du refuge est stressant pour moi. J’espère encore voir ma maman arriver pour qu’on rentre à la maison ensemble. Mais au fond, je sais qu’elle est occupée à combattre la vilaine maladie. Je dois me faire à l’idée… c’est à mon tour de me faire consoler.
Je suis à la recherche d'une nouvelle famille. Un foyer calme et connaissant des besoins des Sphynx sera priorisé.
Salut,
Moi, c’est Misty. Je suis une sphynx de 10 ans, dégriffée des quatre pattes. Mon nom signifie "brouillard," et comme ma peau de sphynx est dissimulée sous un fin voile de poils, mes matantes du refuge trouvent que mon nom me va à ravir.
Mon arrivée au refuge n’était pas un choix de gaieté de cœur. J’ai été adoptée par une femme alors que j’étais toute petite. Nous avons passé dix belles années ensemble, patte dans la main, à traverser les saisons. Mais les quatre dernières années ont été bien différentes. Un jour, ma maman a appris que sa santé lui faisait défaut. En entendant cette triste nouvelle, je me suis promis de la consoler et de l’accompagner sur ce chemin semé d’embûches qui nous attendait. Avant, elle adorait me prendre dans ses bras pour me cajoler, mais j’ai vite compris, à voir les efforts qu’elle faisait pour ces moments tendres, que je devais inverser les rôles. C’était à mon tour de la soutenir. Je me couchais sur son torse, où, sans trop d’efforts, elle pouvait encore me caresser, et moi, je lui offrais la chaleur de ma peau. Mais un jour, même le simple poids de mon petit corps est devenu trop lourd pour son torse affaibli. Son corps est fragile, mais je sais qu’elle m’aime. Je ressens sa tristesse quand elle me repousse doucement. Alors, je reste près d’elle, je l’observe et je lui offre tout mon amour à travers mon regard doux. Croyez-vous qu’elle le sente ? Pensez-vous que c’est suffisant pour la guérir ?
Quand maman a compris que les traitements à venir rendraient ma simple présence trop lourde à gérer avec sa maladie, elle a dû prendre une décision difficile. Elle devait se libérer de la responsabilité d'avoir un animal.
Un jour, elle a passé un coup de téléphone à notre vétérinaire pour se renseigner sur les euthanasies. Heureusement, les euthanasies de convenance sont de moins en moins pratiquées dans notre région. J’ai eu la chance d’avoir une vétérinaire bienveillante et informée. C’est elle qui a contacté le refuge du Domaine Animal pour aider ma maman à trouver une solution. Parfois, ce n’est pas un manque d’amour, mais un manque d’information qui guide les décisions.
L’environnement du refuge est stressant pour moi. J’espère encore voir ma maman arriver pour qu’on rentre à la maison ensemble. Mais au fond, je sais qu’elle est occupée à combattre la vilaine maladie. Je dois me faire à l’idée… c’est à mon tour de me faire consoler.
Je suis à la recherche d'une nouvelle famille. Un foyer calme et connaissant des besoins des Sphynx sera priorisé.