Je m’appelle Thomas, j’ai seulement trois mois de vie mais bien plus de vécu. Ma maturité et mes grands yeux doux parlent d’eux-mêmes. J’ai connu l’errance et la froideur de la fourrière de San Antonio. J’avais peur, j’avais froid, je restais loin au fond de ma cage... Mais qui sont tous ces gens qui se penchent pour me regarder ?! … J’ai peur, j’essaie de me fondre. Je veux disparaître.
Et puis, en moins de deux, je me retrouve dans les bras de cette femme, j’enfonce ma tête dans son cou, ses cheveux dans le vent chatouillent mon museau. J’avais pourtant compris que j’allais mourir. Les euthanasies commençaient à 13h aujourd’hui, suis-je au paradis ?! …
Elles me chuchotent que je suis en sécurité, elles me cajolent, elles m’aiment, je le sens. Je me sens en vie. Je suis en vie !!!!!!!
Les journées passent, elles me surnomment leur petit « gentleman », je me sens bien, j’aime les suivre lors des promenades, je suis curieux, je joue avec ma meilleure amie Billie et j’ouvre mon grand cœur peu à peu. Lorsqu’elles parlent de moi, elles disent que je suis d’une douceur et que je suis un observateur. J’aime être à proximité de leur amour. Je m’accorde avec tous les amis canins, je comprends parfaitement le langage de mes congénères et je suis même pratiquement propre. Lorsque c’est le temps du jeu, je me roule et me roule et me roule de gratitude dans chaque parcelle de gazon qui existe, je suis Mr. Roulade et ça fait bien rire la galerie.
J’ai maintenant compris que je n’aurai plus jamais à craindre pour ma vie et que malgré mes trois premiers mois d’incertitude, j’ai des dizaines d’années qui s’offrent devant moi. Je suis maintenant plus que prêt à contaminer chaque personne qui croisera mon chemin avec ma joie et ma douceur.
Je m’appelle Thomas, j’ai seulement trois mois de vie mais bien plus de vécu. Ma maturité et mes grands yeux doux parlent d’eux-mêmes. J’ai connu l’errance et la froideur de la fourrière de San Antonio. J’avais peur, j’avais froid, je restais loin au fond de ma cage... Mais qui sont tous ces gens qui se penchent pour me regarder ?! … J’ai peur, j’essaie de me fondre. Je veux disparaître.
Et puis, en moins de deux, je me retrouve dans les bras de cette femme, j’enfonce ma tête dans son cou, ses cheveux dans le vent chatouillent mon museau. J’avais pourtant compris que j’allais mourir. Les euthanasies commençaient à 13h aujourd’hui, suis-je au paradis ?! …
Elles me chuchotent que je suis en sécurité, elles me cajolent, elles m’aiment, je le sens. Je me sens en vie. Je suis en vie !!!!!!!
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J’ai maintenant compris que je n’aurai plus jamais à craindre pour ma vie et que malgré mes trois premiers mois d’incertitude, j’ai des dizaines d’années qui s’offrent devant moi. Je suis maintenant plus que prêt à contaminer chaque personne qui croisera mon chemin avec ma joie et ma douceur.
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Et puis, en moins de deux, je me retrouve dans les bras de cette femme, j’enfonce ma tête dans son cou, ses cheveux dans le vent chatouillent mon museau. J’avais pourtant compris que j’allais mourir. Les euthanasies commençaient à 13h aujourd’hui, suis-je au paradis ?! …
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J’ai maintenant compris que je n’aurai plus jamais à craindre pour ma vie et que malgré mes trois premiers mois d’incertitude, j’ai des dizaines d’années qui s’offrent devant moi. Je suis maintenant plus que prêt à contaminer chaque personne qui croisera mon chemin avec ma joie et ma douceur.